L’app qui veut du bien à vos équipes
Des études montrent que les personnes comptant un médecin parmi leurs proches sont souvent en meilleure santé parce qu’elles ont un accès facilité à une information de qualité. C’est cette même expérience que l’application Alan fournit dans un monde où, face à un engorgement du secteur de la santé, un certain nombre de soins — qu’il s’agisse de santé physique ou mentale — sont reportés, voire jamais pris en charge. Un accès facile à la santé et au bien être est clé pour des équipes heureuses et performantes.
Jonathan Orban.
Les confinements ont mis notre santé physique et mentale à rude épreuve. La pandémie a toutefois eu le mérite d’attirer l’attention sur l’impact des enjeux de santé sur la qualité de vie au travail. « Le chemin reste toutefois long, tant il subsiste une stigmatisation dans la gestion de sa santé mentale, observe Jonathan Orban. Il demeure compliqué de dire auprès de sa famille, dans son cercle d’amis, et plus encore à des collègues qu’on vit une situation de détresse et qu’on voudrait consulter. Dans le milieu du travail prévaut encore l’image de la personne active, indépendante et forte, qui n’a pas besoin d’aide extérieure. Ce n’est pas la réalité : nous pouvons tous avoir besoin, à un moment donné, de nous confier, de recevoir de l’aide ou du conseil, voire de parler à un spécialiste. »
C’est pourquoi Alan propose, en plus de son assurance santé 100% digitale, une série de services santé numériques. « Concrètement, un check-up d’entrée permet, au départ de quelques questions, d’identifier les problématiques auxquelles la personne fait face et d’élaborer un plan d’action personnalisé de soutien avec du contenu informatif, des exercices, des techniques de journaling… En matière de santé, on se dit : ‘Il faudrait que…’, ‘Ce serait chouette si…’ Puis, on se laisse happer par le quotidien. L’idée est d’accompagner nos membres dans leur quotidien.»
La démarche permet de prendre conscience de certaines réalités qu’on pressent, mais sans toujours savoir y mettre des mots. « Les gens ont généralement entendu parler de diverses pratiques ou techniques, comme la respiration, le yoga… Mais sans vraiment pouvoir faire le lien entre leur problématique et ces outils. De plus, il n’est pas facile de faire le tri dans toute l’information qui circule. C’est vrai pour la santé mentale, mais aussi pour la santé physique. D’où l’importance de fournir des clés de lecture et fils rouges pour avancer avec des solutions pertinentes et de qualité. »
Chaque étape du parcours de soin — parler à des proches, identifier ses besoins, trouver des outils d'accompagnement, chercher le contact d'un professionnel, contacter ce dernier, etc.) constitue un point d'achoppement supplémentaire qui fera que l'on retarde la recherche de solutions. « L’application essaie de faire sauter les barrières, notamment via la possibilité d’une prise de contact à distance avec des professionnels de la santé — médecins, psychologues cliniciens. Et, au bout d’une seule séance parfois, des leviers sont identifiés qui font que le problème est réglé. On ne laisse pas les choses s’installer… »
Un chat donne ainsi accès à un médecin généraliste pour un dialogue qui commence par une conversation de type WhatsApp. « Vous pouvez poser une question ou décrire un problème — exemples : ‘Mon enfant a 39 de fièvre depuis hier ; dois-je consulter mon médecin ou encore patienter ?’ ou ‘J’ai pris un gramme d’anti-douleur il y a deux heures ; puis-je avoir une autre prise ?’ Des questions pour lesquelles, n’osant pas appeler son médecin traitant, on serait tenté de demander à Dr. Google qui n’aura pas toujours le conseil le plus judicieux. »
D’autres outils permettent d’améliorer son mode de vie en recevant les conseils et l’accompagnement d’experts en nutrition, sommeil, sport et santé mentale. Dans un contexte de guerre des talents, le lien que l’employeur est capable de créer avec ses collaborateurs est fondamental, conclut Jonathan Orban. « Contribuer à ce qu’ils soient en meilleure santé et leur enlever une partie de leurs préoccupations en la matière sera de nature à nourrir ce lien, à augmenter leur engagement et à réduire l'absentéisme. C’est une manière pour l’entreprise de montrer qu’elle se soucie de la qualité de vie de ses travailleurs et qu’elle veut créer une relation durable. »