De nombreuses opportunités d’emploi dans le secteur de l'énergie

En 2025, ENGIE  mettra en exploitation sa nouvelle centrale au gaz à Flémalle. Sa construction - déjà en cours - et son fonctionnement nécessiteront bien sûr un personnel qualifié. La procédure de recrutement des futurs collaborateurs est enclenchée.

À terme, une quarantaine de personnes seront présentes sur le site de Flémalle, pour son exploitation et sa maintenance. Pour l’essentiel, il s'agira de profils techniques : opérateurs/opératrices et responsables de production, techniciens/techniciennes et de chef(fe)s d'équipe de maintenance, ingénieur(e)s spécialisé(e)s dans l'électricité, l'électromécanique et la chimie, etc. Ils rejoindront les quelque 7000 collaborateurs actuels en Belgique.
Travailler à la centrale de Flémalle ? Postulez via engie.be/flemalle

Jennifer Lodeiro Fuentes - Site Support Project CCGT Flémalle 

Le bon mix

Comme l'explique Julie Toussaint, Senior RH Partner chez ENGIE, « la centrale démarrera d'ici un an et demi à deux ans, mais le recrutement a déjà commencé avec une entrée en fonction prévue en janvier 2024. L'objectif étant leur participation à la construction et à la mise en place des processus opérationnels de la centrale sous leur responsabilité. Pendant cette période, un trajet de formations sur les équipements, la sécurité, les outils SAP et autres est prévu. »

Pour sa part, Katrien Goossens, Responsable de la Diversité, Equité et Inclusion chez ENGIE, insiste sur la volonté de l'entreprise de valoriser la diversité en son sein. Le but est d'offrir à tout le personnel un lieu de travail inclusif et performant dans le cadre de sa politique Be.U@Engie : « Nous entendons attirer un pool de talents aussi divers que possible. C'est la raison pour laquelle nous avons travaillé sur le ‘look and feel’ de nos annonces et sur les descriptions des postes vacants afin d’attirer d'autres profils. Bien souvent dans les métiers techniques, on trouve principalement des hommes. » À ce propos, ENGIE Belgique a décroché, cette année, la certification EDGE de premier niveau (ASSESS), qui atteste de l'engagement à offrir les mêmes opportunités professionnelles aux hommes et aux femmes.

Les aspects de diversité vont bien sûr au-delà de la question du genre, pour englober aussi la dimension de diversité culturelle. Pour Katrien Goosens, « un management qui démontre sa capacité à mettre en place un leadership inclusif a d’office un impact positif sur le bien-être des travailleurs/travailleuses, leur sentiment d'appartenance à l’entreprise, leur engagement et la performance des équipes. »

Autonomie et responsabilité

Les compétences techniques attendues des candidat(e)s ne sont nullement négligeables. Néanmoins, Julie Toussaint pointe le fait qu'ENGIE ne se focalise pas uniquement sur les profils qui correspondent point par point aux descriptions de postes : « On ne veut pas se limiter seulement, par exemple, aux bachelors en électromécanique. On peut aussi intégrer des personnes autodidactes qui ont exercé d'autres métiers auparavant. ENGIE dispose de la structure et des outils nécessaires pour assurer leur formation aux divers métiers de l'énergie. »

Au sein d'ENGIE, les maîtres-mots mis en avant sont aussi les termes « autonomie » et « responsabilité ». « De manière générale, ENGIE n'est pas une entreprise où le management est très contrôlant », relève Julie Toussaint. « Nous avons plutôt tendance à faire confiance à notre personnel et à laisser agir en toute autonomie dans le travail, car il sait parfaitement ce qu’il a à réaliser. »

Ce raisonnement vaut également en matière de développement de carrière. « C'est aussi de la responsabilité de chacun/e de se dire qu'il/elle désire donner telle ou telle orientation à sa carrière et de s'en donner les moyens via des formations. En l’occurrence, les possibilités sont nombreuses chez nous. Il est rare que l'on refuse une formation à quelqu'un, d’autant plus que les opportunités d'évolution sont également fort nombreuses dans le large éventail des métiers de l'énergie. À titre d’exemples, on peut devenir opérateur/opératrice de centrale, faire du trading dans le domaine du gaz et de l'électricité ou faire de la recherche sur les nouveaux projets de développement liés à l'hydrogène. »

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Katrien Goossens, responsable de la Diversité, Equité et Inclusion chez ENGIE