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«Nous cherchons des designers en bureau d’étude»

Rédigé par: Lucie Hermant
Date de publication: 19 nov. 2018
Catégorie:

RK

RK-TEC recrute des juniors, mais aussi des seniors. Cette entreprise spécialisée dans l’automation et le génie électrique se distingue par ses compétences dans le domaine pharmaceutique notamment, et compte sur ses futurs talents pour poursuivre sa conquête du marché en 2019.

Roland Khalil, fondateur et directeur de RK TEC, insiste sur ce point: l’entreprise n’est pas en manque de personnel, mais elle désire anticiper la demande du marché en renforçant ses équipes. «Pour s’aligner au mieux à la demande du marché, nous cherchons quatre candidats (deux juniors et deux seniors) spécialisés dans l’automation et l’électricité, des profils aptes à rejoindre des bureaux d’études, à réaliser des designs de concepts… Donc nous n’avons pour l’instant pas besoin de techniciens. Plus précisément, il y a deux types de profils que nous attendons», précise Roland Khalil. «D’abord, les field engineers, qui sont ceux qui font la programmation en tant que contractants sur le projet. Ensuite, nous sommes à la recherche de personnes capables de gérer le design, le cahier des charges, etc. On sélectionne vraiment des exécutants qui vont bosser sur des projets, qui gèrent le management. Quand on a un contrat, on est souvent des partenaires multidisciplinaires dans tout ce qui est architecture du projet.»

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Quels profils cherche-t-il dans un domaine aussi spécifique que l’automation? «Il est d’abord essentiel d’être en possession d’un diplôme d’ingénieur, autant pour un junior qu’un senior, du moins pour le premier profil qu’on recherche. Pour le senior, c’est surtout de l’expérience en bureaux d’études qui fera la différence. C’est parfois compliqué de bien cerner la vision d’ensemble d’un bureau, donc on demande un ingénieur capable de rédiger des cahiers de charges et de rédiger la partie «étude». En ce qui concerne les plus jeunes, on est principalement à la recherche de personnes motivées, en plus de leur diplôme», poursuit notre interlocuteur.

«Le plus compliqué, c’est de trouver des ingénieurs formés sur le marché! Il y a un véritable manque à ce niveau-là. Il n’y a pas assez d’ingénieurs en Belgique», répond Roland Khalil quand on l’interroge sur les difficultés rencontrées pour recruter ce genre de profils. «L’offre est largement inférieure à la demande, c’est là que ça peut coincer, mais notre entreprise intéresse plutôt les travailleurs. Et puis, en ce qui concerne RK TEC, il nous faut en plus des personnes orientées spécifiquement bureau d’étude et qui peuvent mener un projet, être un moteur à ce niveau-là, être capables de faire vraiment du design et de rédiger des dossiers très techniques. On peut facilement trouver des seniors qui auront trente ans d’expérience, mais ils ont souvent plutôt des connaissances pratiques en ce qui concerne le côté terrain, ou une expérience d’exécutants. Dans ces cas-là, il nous manque la casquette pour assurer du côté design.»