« Je voulais travailler dans le monde de l’énergie, avec tous les défis que ça représente »
Arriver dans un grand groupe comme ENGIE représente un beau challenge professionnel pour les jeunes talents. A l’image de Bastien Morineau, 24 ans, qui, une fois son diplôme d’ingénieur civil en poche, a choisi de rejoindre l’entreprise en janvier dernier.
Bastien Morineau, 24 ans, de Bruxelles, est ingénieur civil, diplômé de l’UCLouvain. « Durant mes études secondaires, j’étais plutôt à l’aise avec les maths et les sciences. Un peu naturellement, j’ai suivi les cours préparatoires à l’examen d’entrée pour les études d’ingénieur. À l’issue du secondaire, ce que je voulais faire était un peu flou mais ça s’est éclairci quand je suis sorti de l’unif : je voulais travailler dans le monde de l’énergie, avec tous les défis que ça représente, et je voulais m’y atteler », explique-t-il.
Diplômé en septembre, Bastien a postulé quelques mois plus tard chez ENGIE. Il a rapidement été engagé en tant que « young graduate ». Embauché dans un programme « trainee », Bastien travaille sur tout ce qui touche aux centrales.
Pour rappel, ENGIE construit actuellement une nouvelle centrale au gaz, sur le site de l’ancienne plus grande centrale thermique de Wallonie, à Flémalle, en région liégeoise. Dès l’hiver 2025, cette nouvelle unité sera en mesure de fournir de l’électricité à un million de ménages, avec un déploiement flexible en mesure de produire quand les énergies renouvelables ne peuvent pas combler tous les besoins. Une des raisons de ce projet étant la réduction progressive d’un peu plus de deux tiers de la capacité nucléaire. À Flémalle, sur le nouveau projet, Bastien travaille sur la partie « process mécaniques ».
Pour toute informations sur le projet et les offres d'emploi : engie.be/flemalle
Entreprise à l’écoute
« Dans le programme « trainee », on est vraiment bien accompagné par une RH référente. Je suis arrivé en janvier et je les ai vraiment sentis très à l’écoute. L’accompagnement passe aussi par la disponibilité des personnes. Vous avez toujours une réponse rapide à vos interrogations. J’en suis moi-même parfois un peu surpris », poursuit le jeune ingénieur.
Est-ce motivant de travailler sur de gros projets comme celui de la future centrale de Flémalle ? « C’est clair qu’avoir un travail qui a du sens, c’est hyper important, voire le plus important. Les défis sont nombreux et le challenge est grand. Les centrales à gaz peuvent soulever des questions mais je trouve que c’est bien de se faire sa propre idée et de rester pragmatique. La part du nucléaire dans le mix énergétique est appelée à diminuer et on ne peut pas tout combler, maintenant, avec le renouvelable. Donc, sur le plan socio-économique, c’est important de sécuriser l’approvisionnement d’énergie et c’est gratifiant de faire partie de l’aventure, d’autant que, même si je suis jeune, j’ai l’impression que des projets comme celui-ci, on n’en fait pas dix dans sa vie. À mon avis, ce sera même le seul de cette envergure de toute ma carrière, dans le pays dans lequel on vit ».
Au bon moment
« Quand j’ai rejoint l’entreprise, c’était vraiment avec l’idée d’intégrer un groupe qui travaille sur différents projets d’énergie et sur le renouvelable. Je trouve ça motivant de se pencher sur la dernière génération de turbines au gaz, à la pointe de la technologie. D’autant qu’une seule centrale de ce type est en fonctionnement actuellement et 3 ou 4 autres sont en construction. C’est hyper « challenging ». Ce qu’on prend comme expérience servira pour le futur, peu importe le type de combustible, en espérant aller vers de l’énergie la plus verte possible. Pour moi, travailler sur un tel projet me permettra de pouvoir appliquer tout ce que j’ai appris dans d’autres domaines, que ce soit, par exemple, au niveau des process mécaniques ou de combustion. Je pense que je suis vraiment arrivé au bon moment », conclut-il, conscient que ce genre de challenge reste une opportunité unique pour un jeune ingénieur comme lui…
Pour toutes informations sur le projet et les offres d'emploi : engie.be/flemalle