"En tant qu'architecte à la SNCB, vous contribuez à des projets dans l'espace public. C'est exactement ce que je recherchais.”
Koen, ingénieur-architecte au sein de la SNCB
“J'ai étudié pour être ingénieur civil architecte. Pendant mes études, j'ai été approché sur LinkedIn et on m'a demandé si je serais intéressé par un emploi au bureau d'études de la SNCB. Sérieusement ? À l'époque, je ne savais même pas que la SNCB avait son propre bureau d'études. J'ai accepté la proposition. La combinaison de l'architecture et de la mobilité m'attirait particulièrement. Cela permet un équilibre entre les aspects créatifs et techniques. Les projets sont complexes, mais cela les rend stimulants et intéressants.”
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Un bon salaire, même pendant le stage
“En tant qu'architecte, vous effectuez votre stage auprès de l'Ordre des architectes. À la SNCB, aucune distinction n'est faite entre les architectes en stage et les architectes qui ont déjà leur période de stage derrière eux, et c'est une bonne chose. Mon premier jour de travail a aussi coïncidé avec mon premier projet. Et quel projet ! Rien de moins que l'extension de la gare de Gand-Saint-Pierre. J'ai commencé comme dessinateur. Puis j'ai pris en charge l'aspect administratif. J'ai ensuite évolué vers un rôle de coordination où ma tâche consistait, par exemple, à communiquer avec les dessinateurs. Les attributions sont fonction du projet. Vous coordonnez un projet parfois dans sa globalité, parfois en partie.”
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Des projets riches en défis
“Transformer ou rénover une gare, c'est chaque fois différent. Il peut s'agir d'un projet plutôt restreint comme d'un projet de grande envergure. Je pense par exemple à Gand-Saint-Pierre qui a été mon projet le plus ambitieux. En tant qu'architecte à la SNCB, je contribue à des projets dans l'espace public. Cela m’apporte une grande satisfaction et c'est exactement ce que je recherchais ! Le défi réside également dans la collaboration avec les autres parties. Ce type de transformation fait souvent intervenir de nombreux acteurs (en interne à la SNCB, chez Infrabel ou dans le monde politique). Vous pouvez donc imaginer que cette collaboration ne se déroule pas toujours sans heurts et qu'elle a un impact sur le développement ultérieur d'un projet.”
Flexibilité et travail d'équipe
“Je suis un lève-tôt. Je commence donc toujours ma journée de travail tôt. Le matin, je parcours d'abord ma mailbox. J'enchaîne sur une réunion d'équipe (virtuelle). Nous discutons des projets en cours et des priorités actuelles. Ensuite, j'établis des plans et je les révise. Nous consultons aussi souvent nos collègues de la stabilité et de la technique. Nous recevons beaucoup d'éléments d'information de collègues travaillant dans d'autres domaines. Ils nous apprennent beaucoup. De temps en temps, je me rends aussi sur chantier. C'est toujours agréable de voir le résultat de son travail dans la réalité.Nous travaillons dur, mais nous obtenons aussi beaucoup de flexibilité en retour. Je pense à l'horaire flexible, au télétravail ou à la possibilité de travailler dans un bureau satellite (= un bureau plus proche du domicile pour ne pas devoir se rendre au bureau principal à Bruxelles). Cela me permet de combiner facilement mon travail et mes loisirs.”Il y a encore du pain sur la planche“ J'aime mon métier ! Je travaille surdes projets intéressants avec des collègues motivés et j'apprends en permanence. Mais il est encore possible de faire mieux, évidemment. J'espère donc que dans 10 ans, je pourrai encore participer à de grands projets à la SNCB et que le bureau d'études pourra continuer à se professionnaliser. J'espère aussi, bien sûr, que nous pourrons accueillir beaucoup plus de nouveaux collègues. Mon conseil : renseignez-vous sur la SNCB et ses projets. Vous pourrez ainsi trouver le job qui vous correspond.”
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